Vendredi 1^er mai : Reconnaissance du parcours vélo dans sa quasi-totalité. 145 km dans un paysage magnifique, avec la montée des principales difficultés : col de l’Ecre, de Vence etc. (plus toutes les petites montées non répertoriées, mais qui nous font mal aux pattes à nous les cyclistes de la plaine).

Durant le début du parcours nous allons croiser de nombreux clubs venu comme nous en reconnaissance. Mais la pugnacité ou la folie n’était pas la même car la pluie et le froid arrivant tous nos amis vélocistes et triathlètes disparurent du parcours….. mais comme dit une certaine personne ”la pluie c’est la boisson des courageux ! ”  ….  :-) et nous terminerons notre plan d’entrainement comme prévu.

Pas besoin de  berceuse le soir pour nous endormir…, après un repas copieux mais diététique tout le monde ira au lit sans se faire prier.

Samedi 2 mai : Après une nuit bien réparatrice pour certains, mais pour d’autres à « scier du bois »…, nous prenons la direction de la plage de Nice.

La trempette va s’avérer fatale pour tous les trois. Dans une mer glacée (11/12°C) nous tombons comme des mouches en sortant de l’eau après 45′ de natation , l’un va y laisser ses pieds, l’autre ses mains et enfin le dernier sa tête mais pas de soucis nous sommes des durs . ..  et après une transition effectuée entre les voitures, nous partons courir sur la promenade des Anglais …. :-)

C’est un vrai gymkhana, nous ne sommes pas les seuls et devons faire attention à ne percuter personne….  encore un bon entrainement pour l’Ironman où il devrait y avoir plus de 2500 concurrents le jour de l’épreuve.

Retour à la voiture où Fabien dirige une petite séance d’étirement sympathique.

 

 

 

 

Nous rentrons au  mobil home, où nous reprenons des forces, et tel des forçats nous repartons l’après midi à l’assaut du col de l’Ecre (1118m).

Cette deuxième ascension s’avère très instructive. Nous maitrisons maintenant bien cette montée et nous fêtons cette deuxième grimpette à la terrasse d’un café dans le magnifique village de Gourdon perché à flanc de colline.

 

 

 

Dimanche 3 mai : Avant de reprendre la route pour le chemin du retour car toute bonne chose a une fin, nous repartons faire 2 heures de vélo dans les cols , et c’est avec tristesse que nous laissons ce paradis du vélo.

Ce furent trois journées bien employées aussi riches sur le plan sportif que humain.
Guy,